la chasse au rat. qui c'est qui sera surpris ?

rappel :
Henry sort du bain le 08 mai 2005 jour de la capitulation hitlérienne


Une oreille me rappelant avec insistance que je ne l'avait pas entierement purgée après avoir pris mon bain, je retourne dans la salle de bains pour y prendre deux cure oreille.En passant dans la cuisine je referme négligement une porte de placard mal fermée je poursuis ma route vers l'armoire de la salle de bain. De la je m'écrie à Lindsay "lapinnnn tu veux un coton tige?" "ouiii merci" "euhhhh un ou deux" "non non un ca ira". Muni des précieux outils je reviens dans le salon mais en passant devant la porte de placard que j'avais refermée quelques instant auparavent, j'entends "gratt grattt grattt pof boum crac" (traduction), je m'inquiete et tends l'oreille (que je venais de nettoyer), de nouveau "gratt gratt gratt.Je jette un oeil dans le salon et je vois Lindsay tranquillement installée dans son fauteuil, non ce n'est pas elle qui est dans l'armoire et qui fait "gratt gratt gratt". Une seule explication possible: un rongeur indésirable s'est invité dans mon garde manger..

la suite si vous êtes gentils.

Waaaaahahahaha où as tu retrouvé ça affreux archéologue

Moi j'ai conservé les photos hihihi compromettantes

mais j'ai aussi les photos

J'ignorais que tu oeuvrais pour l'ex KGB mouarffff

Si tu as des dossiers sur tout le monde, pourrais tu me trouver un truc sur Abi??? Ou mieux encore, sur mon percepteur d'impôt? hihihihi

j'ai jeté la poele y'a pas longtemps

ach !!

nous avons les moyens de faire parler un serveur !



mais c'est pas pour le KGB avec qui je suis d'ailleurs en trés bons termes dans l'attente de la quatriéme guérre mondiale

Serais ce alors pour les service secret de l'opus deï ?????

bon. comme vous avez été gentils d'aprés ce que m'ont dit vos mamans, tonton FV vous fournit la suite du safari d'Henri le Belliqueux (de poêle)
les fautes d'orthographe sont d'origine et scellées à tout jamais dans un fichier.doc







"a la suite de cette désagréable découverte (due à ma grande perspitipicacité) mon sang ne fait qu'un tour et mes yeux s'injectent du sang des chasseurs de la savanne- L'INTRUS DOIT MOURIR. Une fois ce noir dessin fomenté dans complexes circonvolutions de mon cerveaux brumeux, les premiers problèmes se posent à moi:

1) Que faire ? ouvrir la porte? mais alors le fauve va s'enfuir et rejoindre sa tribu plein des précieuses denrées qu'il m'a chouravée. Non il me faut une arme!!!!
2) Oui mais quelle arme? Il y a bien ce fusil mitrailleur que m'a laissé mon oncle amoureux des calibre de guerre mais les voisins sont délicats des oreilles, non ce n'est pas la bonne idée. Alors cette vieille grenade qui traine depuis bien longtemps pres de ma chaudière et que je destinais au ramonage de ma cheminée (on m'a dit qu'il ne fallait pas alors bon dans le doute) mais l'ennui c'est la nature des meubles qui ne sont vraiment pas prévu pour supporter l'explosion de boites de conserves périmées alors à fortiori une grenade? non l'heure est trop tardive pas d'expérience incertaine.
C'est alors que Lindsay est touchée par la grace LA POELE s'écrie t elle exaltée, je jauge du regard l'énorme poële en fonte grise posée sur la plaque de cuisson et son poids que j'estime à 2Kg au moins me décourage, mais l'idée est bonne et baissant le regard je tombe (le regard pas moi) sur une poele de tole d'une dimension tout a fait acceptable. Je me saisis de l'arme et la carresse doucement dans ce geste quasi religieux qu'ont tous les chasseurs envers leur arme avant de sonner l'hallali de la bête embusquée."

Ouai et bien je crois que chez les musaraignes du pré d'à côté ça se poele toujours

posté devant l'armoire de cuisine fermée et renfermant la mystérieuse entité qui fait toujours "gratt gratt gratt" je paufine ma tactique je me munis d'un outil qui me permettra d'ouvrir la tanière de la bête aux aguets sans que celle ci puisse bondir sur mon bras musclé et velu. Lindsay se tient derrière moi en arrière garde et armée d'une clé à mollette de 12 pouce suffisante pour rejouer l'execution de Landru en personne. Je suis pret à agir mais Lindsay m'interromps "attends" me dit elle "on va enlever ce qui casse de l'armoire". La suite m'apprendras que l'intuition féminine n'est pas une légende même si elle ne va pas forcément assez loin. Nous sommes armés, le champ de bataille est pret et... "gratt gratt gratt" l'ennemi est la tapis dans l'ombre entre un paquet de riz et une boite de farine. HALLALIIIIIIII TUE TUE TUE

et voilà la suite des innénarrables peripéties de Tarthenry de Tarascon.



"D'un geste décidé et de la main gauche j'entrouvre l'armoire à l'aide d'un gratoir à peinture ... 1 cm, 2 cm, rien... l'ennemi est lâche il ne se montre pas ou alors il veut gagner du temps en attendant des renfort
tel Jules César devant Alésia je veux imposer mon heure à l'adversaire, le combat sera rude et sans merci, pas d'otages, pas de rancon le vainqueur sera seul survivant.
J'ouvre un peu plus la porte du décumanus !! euhh de l'armoire (je suis pris par la dimension historique du récit) YAAAHHHH CA Y EST TE VOILA MECREANT,PILLARD,ASSASSIN DE MES PENNE ET DE MES SPAGHETTIS AU OEUFS FRAIS (six au Kg)!! feux je vise l'affreux qui s'enfuit la poêle décrit un gracieux arc de cercle sous la direction sure et avisée de mon audacieuse main droiteet se dirige implacaplement vers la tête de l'animal qui voit déja disparaitre ses reves de digestions paisible."

la suite au prochain numéro

Le récit est bien le voir c'était pas mal non plus surtout le blang et la fuite....

Quelle aventure hein !!! Ca c'est de la chasse, sans filet, sans arme à feu, l'Homme face à la bète sauvage ....

pour bien commencer l'année je vous livre la suite de la chasse au rat.
que cette épopée picaresque et veridique vous fasse rire ou à défaut sourire.



Mais horreur, catastrophe, je suis trahi par la technique que je sert pourtant avec fidélité et assiduité depuis toujours. Le manche de la poele, sans doute en froid avec celle ci, décide à cet instant de quitter l'alliance sacrée qui nous unissait pourtant jusque la contre notre ennemi commun (rat commun d'ailleurs), déstabilisée par cette défection, la poele, jusque la si vaillante et courageuse, décide de suivre son propre chemin et de tenter sa chance toute seule. Mais voila le manche était la seule liaison physique entre elle et la main qui faisait fonction de général des armée, la voici livrée à elle même et dans la même seconde, elle quitte le manche, percute violement l'armoire qui, blessée dans sa porte lui déclarera certainement la guerre plus tard et enfin privée de toute directive et étourdie par le choc avec l'armoire, cette pauvre poêle vois trop tard la fenêtre qui s'approche d'elle à une vitesse hallucinante.

Bing Dzing trop tard les freins de la poêle ont cédés, la vitre de la fenêtre aussi et voici la poêle qui fini sont vol plané parmi les débris de verre sur le béton de la terrasse humide encore de la pluie de cette triste journée ou nous fument vaincu par ce barbare poilu qui en plus nous a piqué nos vivres.

La guerre n'est pas finie et je compte bien engager un clous comme médiateur entre la poêle et son manche.


la suite quand Henri vous la racontera. j'arrête

la suite?
Fenêtre cassée et moi pissant de rire et la bête fuiant vers son pré hum hum
Et la poële maintenant dans le vulback (pas sure de l'orthographe)